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Bienvenue sur l'espace d'entraide du SHD-DAT
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Qu'est-ce que l'Entraide?
- C'est un service gratuit entièrement assuré par des bénévoles et qui est proposé à tout généalogiste amateur pour lui permettre de rechercher un acte précis dans les registres conservés aux Archives.
- Les demandes de recherches sont centralisées par un coordinateur départemental puis transmises à une ou un bénévole.
Le bénévole prendra directement contact avec le demandeur pour lui donner son délai et pour demander d'éventuelles précisions.
Il est donc impératif que l'adresse électronique (E_mail) soit correctement libellée.
- Le nombre des bénévoles qui peuvent se déplacer au SHD-DAT est faible et le nombre des demandes élevé.
- Cela entraîne inévitablement l'établissement d'une liste d'attente et des délais qui peuvent atteindre, voir dépasser 1 mois.
- De plus, le coordinateur qui centralise les demandes ou les chercheurs qui se déplacent au SHD-DAT pour vous aider le font sur leur temps personnel.
On ne saurait donc leur reprocher les délais, même si ceux-ci paraissent longs.
Quelques règles de base :
A -Informations à caractère individuel
- Les informations qu'on peut trouver au SHD-DAT sont de nature et
d'importance très variable : cela va du contenu plus ou moins précis et
consistant de la case d'un registre matricule pour un simple soldat, à un
dossier d'une centaine de pages pour un officier supérieur.
- Pour une demande concernant un officier, vous devez nous indiquer son
état-civil complet et les périodes où il a servi. Est particulièrement
utile la date de cessation d'activité, les dossiers des pensionnés étant
classés par date d'attribution de la pension.
- Avant la révolution, les régiments portaient généralement le nom de leur
colonel. Pour un simple soldat, vous devez obligatoirement nous communiquer
le nom de ce régiment, si possible le nom de son capitaine, et donner une
fourchette de dates la plus étroite possible.
- Sous la révolution et l'empire, les recrutements ont connu une telle
ampleur qu'un registre matricule, d'infanterie par exemple, ne couvre même
pas une année complète. Si vous connaissez le numéro matricule ou la date
précise de recensement, les recherches seront facilitées.
Les
bénévoles ont toute latitude pour décider de la poursuite ou non des
recherches s'ils estiment les informations fournies insuffisantes.
B - Documents généraux
- Il s'agit pour l'essentiel des journaux de marche des unités ayant
participé à la 1ère guerre mondiale (ne nous en demandez pas sur les
campagnes napoléoniennes, ils n'ont été créés qu'en 1872), ou d'historiques
de régiments. La plupart des JMO ont été microfilmés il y a plusieurs
dizaines d'années et sont peu lisibles. Ceux qui sont restés sur support
papier sont interdits de photocopie en raison de leur fragilité.
- Les historiques de régiments sont soit manuscrits soit imprimés. Nous
pouvons reproduire les quelques pages correspondant à la période ou à
l'événement qui vous intéresse.
C - Moyens de reproduction
- La photographie numérique étant désormais autorisée, c'est le moyen de
reproduction le plus utilisé par nos bénévoles Dans ce cas, la
transmission par mail de clichés est bien entendu gratuite. Cependant,
s'il s'agit d'un dossier très volumineux, il pourra vous être proposé
l'envoi d'un CD reprenant l'ensemble des clichés, contre remboursement du
coût d'un CD vierge et des frais d'envoi.
- En ce qui concerne les photocopies, la page A4 coûte 0,23 Euros, mais
beaucoup de documents doivent être reproduits sur un A3 qui coûte 0,46
Euros. Bien entendu, il vous sera aussi demandé une enveloppe timbrée ou
le remboursement des frais d'envoi.
- De plus, depuis fin septembre 2006, il est demandé par le SHD 5 euros par
registre et/ou par carton, somme venant s'ajouter au prix des photocopies.
- Le dossier normal d'un officier de carrière ordinaire (25 ans d'activité)
contient en moyenne 40 à 45 documents, la plupart au format ministre
(pour nous, intermédiaire entre A4 et A3, et ne se prêtant pas toujours à
la réduction en A4). Vous pouvez largement doubler ces quantités dans le
cas d'un officier général ayant exercé un commandement en temps de guerre.
- Toutefois, beaucoup de documents ne sont pas photocopiables du fait de
leur état de conservation, de même que les "journaux de marche" ou les
"pelures".
- Si vous ne connaissez pas le SHD-DAT, nous vous conseillons de lire
attentivement les notes ci-dessous afin de
mieux savoir dans quel environnement vos recherches seront effectuées.
- Les demandes en cours sont consultables sur la page
www.entraide-genealogique.org/~demandes/Dept102
Les
champs repérés par
doivent être impérativement renseignés
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Le Service Historique de la Défense - Département de l'Armée de Terre:
Installé dans le château royal de Vincennes, le SHD-DAT est accessible par
- Métro: Ligne 1, station Château de Vincennes
- RER: Ligne A, station Vincennes (+loin)
- BUS: Lignes 56, 112, 115, 118, 124, 318, 325.
Réservation des documents:
Attention : Lors de votre première visite,
vous vous apercevrez que la recherche au SHD-T s'apparente fortement au
parcours du combattant !
- Vous devrez d'abord vous faire établir une carte de lecteur (gratuite, sur
présentation d'une pièce d'identité) à l'accueil, situé à droite en
entrant dans la cour du château par la porte côté métro.
- Vous vous rendrez ensuite au pavillon des Armes, où se situe la salle de
communication et l'accueil scientifique.
- Là, vous vous rendrez compte que tout ce que vous pourrez faire ce jour-là
est de recevoir des conseils et de consulter les inventaires, qui vous
permettront de trouver les cotes des documents qui vous intéressent.
- Il n'y a que 50 places dans la salle de communication. Il vous faut
maintenant réserver une place pour une " prochaine " visite.
- C'est le secrétariat qui s'en occupe : chaque lundi, la réservation est
ouverte pour la semaine S+ 2. Les réservations se font par téléphone, au
01.41.93.20.95. Attention, la ligne est souvent occupée.
- Le nombre de documents est limité à trois par
jour. Les cotes des documents que vous souhaitez consulter doivent
impérativement être communiquées au secrétariat 48 h avant la date de
votre visite.
Adresse postale:
Toute correspondance doit être adressée à :
Monsieur le Chef
du Service historique de l'armée de terre
Château de Vincennes
BP 107 - 00481 ARMÉES
Attention : Le Service historique de l'armée de terre n'effectue pas de recherches par correspondance.
Sont communicables au public:
- après trente ans, tous les documents d'archives publiques ne relevant pas des délais particuliers figurant ci-après,
- après soixante ans, les documents contenant des informations mettant en cause la vie privée ou intéressant la sûreté de l'État ou de la Défense nationale,
- après cent ans, les documents relatifs aux affaires portées devant les juridictions,
- après cent vingt ans à partir de la date de naissance des intéressés, tous les dossiers de personnels,
- après cent cinquante ans, les dossiers comportant des renseignements individuels à caractère médical.
Dérogations:
- Dans le cas du SHD-DAT, c'est le chef d'état-major de l'armée de
terre qui décide. (La procédure est analogue, suivant leur hiérarchie
propre, pour le SHD-DAA, le SHD-DM et le SHD-DGN). Le SHD-DAT délivre un
formulaire de demande qui, rempli par le demandeur, est transmis au CEMAT.
La réponse revient au bout de 2 à 3 mois. L'autorisation n'est pas
transmissible : seul le demandeur, c'est-à-dire le descendant direct, peut
venir consulter les documents. Et, en principe, les pièces montrées sous
dérogation ne sont pas photocopiables.
- Demander le formulaire ad hoc au SHD-DAT - Château de Vincennes -
BP 107 - 00481 Armées.
Recherches concernant les
militaires:
Il n'existe pas de fichier alphabétique général des militaires ayant servi dans l'armée française.
Sans un minimum de renseignements précis (nom, prénoms, date et lieu de naissance, régiment, grade...) le chercheur s'expose à une démarche inutile.
- Officiers généraux:
- Cinq séries chronologiques, plus une pour les officiers généraux assimilés.
- Ce n'est qu'à partir du milieu du 18ème siècle qu'apparaissent des dossiers individuels.
Usuels:
- Chronologie historique militaire de M. Pinard, notices biographiques des origines à 1762.
- Dictionnaire biographique des généraux et amiraux français de la Révolution et de l'Empire (1792-1814).
- Officiers:
- A partir de 1705, revues d'inspection classées par régiment (série Xb infanterie, Xc cavalerie),
- En 1715, contrôles collectifs par grade et par régiment (renseignements très succincts nom, grade),
- A partir de 1762, contrôles par régiment,
- A partir de 1740, dossiers de demandes de grâces, classés alphabétiquement, mais comportant de nombreuses lacunes ; état civil rarement précisé.
L'indication du régiment dans lequel l'officier a servi est souvent indispensable.
- De 1779 à 1790, série de pensions sur le trésor royal, répertoire alphabétique,
- De 1791 à 1848, dossiers au sens actuel du terme; classement alphabétique,
- A partir de 1801, le même personnage peut avoir également un dossier de pension,
- De 1848 à 1968, plusieurs séries de pensions, puis des séries numériques.
Divers:
- Les dossiers des officiers d'active ou de réserve rayés des cadres après 1968 sont conservés par le BCAAM de Pau.
- Les renseignements sur les officiers qui ont quitté le service entre 1792 et 1798 se trouvent souvent aux archives nationales: dossiers des comités militaires (séries AFII et AFIII).
- Les dossiers de pensions et les dossiers postérieurs à 1848 sont classés selon la date de fin des services. C'est donc ce renseignement qui permet une identification rapide.
- Pour les officiers et soldats des troupes des colonies au 18ème siècle, les archives sont conservées par le Centre des Archives d'Outre-mer d'Aix-en-Provence (registres D 2c, dossiers E colonies et EE).
- Sous officiers et hommes de troupe:
- Le "contrôle" des militaires du rang ne commencera qu'à partir de 1716. Il est donc impossible de reconstituer la carrière militaire d'une personne qui aurait servi avant cette date.
Jusqu'en 1786, les Contrôles sont dépourvus, de tables alphabétiques, il est préférable de connaître la compagnie (le nom du capitaine).
Après 1786, une table alphabétique est placée à la fin de chaque volume.
- La série R des archives départementales permet à partir du registres du recrutement, de connaître le régiment et la date d'incorporation d'un conscrit.
Cette série existe avec des lacunes (variables selon les départements) depuis 1793 environ.
La série de contrôles postérieure à 1875 n'a pas été conservée : on ne dispose dès lors que des registres du recrutement détenus par les archives départementales.
- Le SHD-DAT ne détient pas les dossiers des militaires non officiers de la guerre 1914-1918, ni aucun instrument de recherche permettant leur identification.
L'état des services (affectations, campagnes, blessures, actions d'éclat, citations, décorations) doit être recherché auprès des archives départementales du lieu de recrutement.
- Pour les militaires nés entre 1847 et 1907, classes 1867 à 1927 :
Archives départementales du lieu de résidence de l'intéressé lors de son incorporation (domicile à l'âge de 20 ans)
*pour les militaires recensés en Algérie: Centre des Archives d'Outre-mer, 29 chemin du moulin Detesta, 13090 AIX-EN-PROVENCE.
*pour les français recensés à l'étranger: Centre des archives diplomatiques, 17 rue de Casterneau, BP 1033, 44036 NANTES CEDEX 01.
- Pour les militaires nés entre 1908 et 1948, classes 1928 à 1968 :
Bureau Central d'Archives Administratives Militaires (caserne Bernadotte - 64023 PAU CEDEX).
- Un fichier alphabétique des morts pour la France des guerres de 1914-1918 et 1939-1945, est conservé par le Ministère de la défense, Direction de la Mémoire, du Patrimoine et des Archives (37, rue de Bellechasse, 75700 PARIS).
Ce service peut préciser le département de recrutement, le régiment, les date et lieu de décès ou de disparition, le lieu d'inhumation.
- Il n'y a pas de fiches matriculaires aux AD 92, 93 et 94. Les fiches matriculaires
des sous-officiers et soldats né ou recensés dans ces départements avant
1964 sont éventuellement aux AD 75 (ancienne Seine) ou 78 (ancienne Seine-et-Oise)
selon que la commune se trouvait dans l'un ou l'autre de ces départements.
- A partir de la classe 1969 :
Bureau du service national dont dépend l'intéressé.
Légion étrangère:
suivant la date de fin des services:
- Avant 1909, SHD-DAT, registres matricule, série 48Yc.
- Après 1909, Commandement de la Légion étrangère, Bureau des anciens, BP 38, 13998 MARSEILLE ARMÉES.
JMO:
- Les Journaux de Marches et Opérations ont été inventés en 1872 par le général Cissey.
Avant 1914, ils ne concernaient alors que les divisions, et les régiments en manoeuvres dans les réserves.
On n'y trouve pas d'informations nominatives.
- Pour les JMO de 1914-1918, les informations nominatives sont rares et concernent à 95% les officiers.
Toutefois, il faut regarder dans les inventaires de la sous-série 26N si le carton du JMO contient un volume
d'annexes, et le consulter prioritairement : c'est là qu'on a des chances de trouver les listes de tués, blessés, disparus.
Divers:
- Le Service historique de l'armée de terre détient exclusivement les archives de l'armée régulière française.
Les services accomplis dans la garde nationale ou dans la garde nationale mobile (1870-1871) se retrouvent aux archives départementales.
- La médaille de Sainte-Hélène fut instituée en 1857 par Napoléon III pour être décernée à tous les survivants des guerres de la Révolution et de l'Empire, français et étrangers.
On ne peut retrouver la trace d'un titulaire que si le régiment dans lequel il a servi est connu.
- Les zouaves pontificaux formaient un corps de volontaires au service du Pape, qui n'appartenait pas à l'armée française. Se renseigner auprès des Archives secrètes vaticanes, 00120 CITE DU VATICAN.
Concernant les volontaires de l'Ouest en 1870-1871 (ex-zouaves pontificaux): Association du général de Sonis, 28140 LOIGNY-LA-BATAILLE.
- Les douaniers ne sont pas militaires.
Se renseigner auprès du Centre de documentation historique du musée des douanes (BP 60, 33024 BORDEAUX Cedex).
- Les cantinières, au même litre que d'autres fournisseurs, étaient des entrepreneurs privés autorisés à exercer leurs activités auprès des troupes.
Elles n'étaient pas employées militaires, et n'apparaissent donc pas dans les effectifs.
- Les infirmières et ambulancières pendant la guerre 1914-1918, n'étaient pas militaires.
Se renseigner auprès du Centre des archives de la Croix rouge, 19 rue de la Paix, 1202 GENEVE, SUISSE.
- Quelques références:
- Série A : Archives antérieures à 1792.
- Série B : De la préparation de la guerre à la Paix d'Amiens (1792-1802).
- Série C : Premier Empire.
- Série D : Restauration.
- Série E : Monarchie de Juillet.
- Série F : Seconde République.
- Série G : Second Empire.
- Série H : Expéditions d'outre-mer depuis 1830.
- Série I : Correspondance des divisions militaires de 1799 à 1830.
- Série J : Justice militaire.
- Série K : Fonds privés et documents entrés par vies extraordinaires.
- Série M : Dépôt de la Guerre.
- Série N : Troisième République.
- Série V : Archives techniques du Génie.
- Série W : Archives techniques de l'Artillerie.
- Série X : Organisation de l'administration centrale, des unités et services d'inspection.
- Série Y : Documents individuels ou collectifs concernant le personnel.
Recherches concernant les
Poilus:
Consulter la page écrite par Alain BARRAULT.
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